Prière à saint Gaucher contre les accidents imprévisibles et funestes

Saint Gaucher et sa Prière contre les accidents imprévisibles et funestes :

Saint Gaucher, ou Gaucherius, est un saint reconnu pour sa vie d’ermite et de dévotion. Il est spécifiquement invoqué contre les accidents. Dans la tradition chrétienne, il est courant de prier saint Gaucher dans toutes sortes de circonstances difficiles.

« Ô Saint Gaucher, homme de foi et d’abnégation,

« Toi qui as suivi le chemin de la solitude pour mieux communier avec le Divin,

« Nous nous tournons vers toi en ces temps d’incertitude et de peur.

« Toi qui as vécu loin du monde, mais si proche de la grâce de Dieu,

« Intercède pour nous et nos proches,

« Afin que nous soyons préservés des accidents funestes.

« Garde-nous sous ta protection,

« Éloigne de notre chemin tout malheur et danger,

« Et conduis-nous vers la sécurité et la paix.

« Puissions-nous apprendre, par ton exemple,

« À faire confiance à la Providence divine en toutes choses,

« À rester fermes dans la foi malgré les épreuves de la vie.

« Par l’intercession de la Sainte Trinité,

« Que nous soyons guidés loin de toute calamité,

« Et que nous vivions dans la sérénité et l’espérance.

« Saint Gaucher, prie pour nous.

« Faites, ô mon Dieu tout-puissant,

que nous soyons fortifiés dans l’amour de votre saint nom

par tous les biens et toutes les faveurs dont vous nous comblerez

en mémoire de saint Gaucher votre serviteur, qui vous a servi si fidèlement et que vous daignez glorifier tous les jours d’une manière si merveilleuse.

Nous vous en prions par Notre Seigneur Jésus-Christ.

Ainsi soit-il.

Saint Gaucher, qui obtenez la santé du corps et de l’âme et qui préservez de tout malheur ceux qui vous invoquent, priez pour nous.

Amen. »

Qui était Saint Gaucher ?

Saint Gaucher est invoqué pour obtenir d’être préservé des accidents imprévisibles et funestes.

Saint Gaucher fut désigné par Dieu pour fonder des monastères sur le sol de France.

Il avait toutes les qualités qui font un entraîneur d’hommes. Il possédait en plus les vertus les plus précieuses : charité, humilité, amour du prochain, foi totale en Dieu.

Et il fallait qu’il eut tout cela, car ce bâtisseur de couvents était ermite par goût et aurait aimé prier Dieu dans solitude.

C’est alors qu’il cherchait un emplacement favorable pour l’établissement d’un monastère qu’il fit une chute de cheval mortelle.

Il mourut sur la terre, au pied d’un arbre, exhortant ses frères au courage.

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